Comme d'habitude, on commence le récit du WE en Maurienne par un réveil bien tôt et un joli lever de soleil.
Le Charbonel qui figure depuis quelques années en tête des sommets à gravir.
Effet de neige
Le printemps existe, je l'ai rencontré.
Very artistique photo de la pointe de Bonneval. je suis très très content.
La même, sous le soleil exactement. Après 1000m de grimpette en plein cagnard, on a littéralement fondu !
Le refuge Carro ou le confort zéro étoile : la piaule était tellement pourrie qu'ils nous ont fait payer moitié prix (ce qui n'arrive jamais). M'en fout, la bouffe était bonne, et y'avait du rab. 
Deuxième jour : Le col machinchose, d'un très joli effet devant sa mer de nuage.
Sensiblement du même endroit, en direction de l'est.
Le très famous pas -raide !- du bouquetin. Avec Andrea qui trace et Eric qui élargit la tranchée dans les bouboules de la coulée.
Laura grimpe à son tour sur fond de col du machinchose.
Toujours le couloir, de l'intérieur cette fois.
idem
Andrea du sommet nous jette des encouragement
Encore
Ayé ! Le pas du bouquetin raide est gravi.
Du coup on fait le tour de la grande Aiguille rousse et hop on sort au sommet.
Troisième jour :
Rose
Blanc
bleu
Dégradé
Bleu et blanc...
Et le sommet de la Lavanna occidentale, 3600m et des brouettes.
La Lavanna centrale, et l'Italie à gauche, qui ignorait encore que la Roma allait se faire humilier 7 à 1 par Manchester.
Le sommet de la Lavanna, qui ferait moins son fier s'il connaissait les résultats du match de lundi.
Eric dans ses oeuvres, sur une neige résolument croutée.
L'homme lampadaire, dont IKEA cherche déséspérément à m'acheter les brevets. Très pratique pour meubler une patinoire.
Solitude des grands espaces, immensités immaculés, blancheur virginale appelant le recueillement, et 300m de dénivelée en AR express pour aller une dernière fois se moquer de l'Italie depuis le col Bertrand.
Sensiblement du même endroit, en direction de l'est.
Le très famous pas -raide !- du bouquetin. Avec Andrea qui trace et Eric qui élargit la tranchée dans les bouboules de la coulée.
Laura grimpe à son tour sur fond de col du machinchose.
Toujours le couloir, de l'intérieur cette fois.
idem
Andrea du sommet nous jette des encouragement
Encore
Ayé ! Le pas du bouquetin raide est gravi.
Du coup on fait le tour de la grande Aiguille rousse et hop on sort au sommet.
Troisième jour : Rose
Blanc
bleu
Dégradé
Bleu et blanc...
Et le sommet de la Lavanna occidentale, 3600m et des brouettes.
La Lavanna centrale, et l'Italie à gauche, qui ignorait encore que la Roma allait se faire humilier 7 à 1 par Manchester.
Le sommet de la Lavanna, qui ferait moins son fier s'il connaissait les résultats du match de lundi.
Eric dans ses oeuvres, sur une neige résolument croutée.
L'homme lampadaire, dont IKEA cherche déséspérément à m'acheter les brevets. Très pratique pour meubler une patinoire.
Solitude des grands espaces, immensités immaculés, blancheur virginale appelant le recueillement, et 300m de dénivelée en AR express pour aller une dernière fois se moquer de l'Italie depuis le col Bertrand.
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