samedi, décembre 18, 2010

Xtrem Ski de plat dans le Tessin

Bonjour ! A l'instar de la marmotte, le skieur de randonnée hiberne. la seule différence entre les deux espèces, c'est que le skieur dort l'été et se réveille en décembre, aux premières neiges.
C'est chose faite (fête) nous concernant depuis une semaine, avec un fort sympathique WE dans le Tessin.






dimanche, septembre 05, 2010

Ma vigne a grossi

Vous l'avez aimée petite au printemps, vous l'aimerez énôrme avec des grappes de raisin géantes (réalisé avec trucage) :

lundi, août 30, 2010

Grille-pain, 16 jours de marche en Oisan

Salut les marmottes !

Pendant que vous passez l'été à hiberner sur la plage entre les criiiiiis du marchand de chourros graisseux et le ballon des mioches de la famille au transistor, j'ai passé une soirée entière à réparer un grille-pain moulinex à 15 € après que Laura a couru tout Paris 2 jours durant à la recherche d'une clé Torx (sorte de saloperie d'ersatz de clé Alen spécifique à l'industrie chinoise de l'électroménager jetable). Après 3 heures d'efforts, j'ai rafistolé le Frankenstein chauffant qui montre à présent ses entrailles électrocutantes à qui veut bien y risquer une tartine kamikaze. Il est étonnant de constater à quel point il n'a pas été envisagé un instant par les concepteurs de cet appareil qu'on puisse avoir l'idée délirante de le réparer en cas de panne. En l'occurrence, il s'agissait d'une bête rupture de la résistance, laquelle se répare très bien en découpant un bout du châssis en tôle pour en faire une rustine conductrice. Mais pour y accéder, j'ai du défoncer la garniture "isolante" (un vulgaire bout de carton amianté à cœur). Après ça, impossible de remonter le capot, tout est en toc, se tord, se déchire dès qu'on l'effleure. Franchement, ce bidule est JETABLE. Mais moi, ça me gonfle de JETER un grille-pain neuf (il a 4 ans) sous prétexte que le fil de la résistance est coupé. Ça fait au bas mot 1 kg de plastoque à retraiter, il faut qu'un petit chinois/bangladais/indonésien se pourrisse la santé dans une usine monstrueuse à en monter un nouveau avant qu'un porte-conteneur géant apporte l'appareil à Darty qui va me le vendre en prenant 50% de marge.
Quant à en acheter un "local" (européen quoi), c'est impossible, ça n'existe pas.
Et personne non plus qui ose garantir un grille-pain plus que les 12 mois réglementaires. A croire que la technologie du fil qui chauffe est tellement sensible qu'aucune marque n'est prête à construire un appareil qui dure plus que 52 semaines.
A mon avis, la société contemporaine qui produit ce modèle de "développement" va droit dans le mur.
En attendant je suis bien content, je n'ai pas consommé, j'ai passé 3 heures à me battre contre la machine, c'est plus rigolo qu'un casse-tête, ce matin j'ai mangé du pain tout chaud, et j'ai pas encore pris le jus...


Pendant que vous lisiez les mémoires de Rika Zaraï au bord de la piscine du Hilton de Bagdad, on est aussi allé taquiner le chamois à domicile. Victoire écrasante du chamois par K.O.
Pourtant, on s'est donné du mal dans la préparation pour être léger et courir vite : une semaine de plage en juillet, puis glandouille-apéro-festa à Paris jusqu'au 12 aout. Enfin, composition des sacs-à-dos avec un art consommé de l'économie de poids. On a réussi à partir avec moins de 20 kg de barda à 2, y compris tente-duvet-réchaud-vivres-eau et tout ce qu'on portait sur nous. Sans l'eau et la nourriture, on arrivait à des sacs de moins de 8 kg par tête. Evidemment, à ce prix, faut pas s'attendre à du linge de rechange tous les jours, ou alors faut laver le T-shirt de rechange chaque jour...
Un grand merci à Kenzo qui nous a prêté sa tente poids-plume, elle a vu du pays.
Sur la carte de France, notre périple représente approximativement la forme d'un patatoïde irrégulier autour des écrins, avec des tas de petites variantes.
En bref, 16 jours de rando consécutifs, avec un total de près de 21 000 m de D+ en un peu plus de 100h de marche, au moins 500 marmottes (soit une toute les 12 minutes en moyenne). Une bien jolie promenade donc, loin de la foule et des moteurs. Je n'ai qu'un conseil, allez-y, c'est que du bonheur.
Pour les photos, c'est par ici :



Mais qu'est-ce que vous avez à me regarder comme ça ?

La suite au prochain numéro...

dimanche, avril 11, 2010

C'est le printemps : vive la culture...

... de la vigne !

Admirez ce qui est arrivée au bourgeon qui a éclaté il y a à peine 2 semaines : on dirait un film d'animation.
















mercredi, février 24, 2010

Changement de registre

Ça change un peu du discours "t'auras les poumons noirs dans 50 ans"...

dimanche, février 21, 2010

L'auberge buissonnière - Gresse en Vercors

Récit d'un WE de rêve à l'Auberge Buissonnière.
L'endroit est tenu par Hervé et Élodie. Sans compter leur plus que ravissant fiston et le chat Nénette (voir photo plus bas). Quand ils ne traversent pas l'Atlantique sur une coque de noix, ils s'occupent d'un petit coin de Paradis en montagne.

Pour ceux qui ne savent pas comment joindre l'Auberge Buissonnière, je rappelle les coordonnées :
L'Auberge Buissonnière
Hôtel** Restaurant
L'Eglise 38650 Gresse-en-Vercors
Tél. 04 76 34 37 28
contact@buissonniere.fr

En peu de mots, c'est dans le petit village de Gresse-en-Vercors, au pied des montagnes. Par exemple, si on prend la peine de faire au saut en haut des pistes, on s'offre une vue imprenable sur le Mont Aiguille.
Il ne fait pas toujours beau, mais dans ce cas la vue est tout à fait intéressante.
Là, c'est la vue depuis le sommet du Baconnet (600 m de D+ en ski de rando super facile depuis Gresse-city). Le topo ici.
Des hors-pistes de ouf remplis de poudreuse partout.
Oui, je sais, c'est trop bon...
Toujours le Mont Aiguille.
Il n'a pas fait beau ce matin.
Le lendemain (dimanche 6 février) :
Ascension des Rochers du Parquet depuis La Bâtie, à 10 km de Gresse.

Ça c'est Nénette le chat (ne me demandez pas pourquoi les photos ne respectent aucune chronologie, Blogger refuse de les afficher dans l'ordre).
Le coucher de soleil en redescendant du Baconnet.
Itou
Pareil
Dimanche : les Rochers du Parquet alors que le brouillard se déchire brièvement sur le plateau du Vercors.
Pareil
Idem
Itou
Le brouillard dans les bois.

En somme, allez à l'Auberge Buissonière, mangez de la fondue et buvez des bières, faites la risette à Elliot, dormez dans des piaules ultra confortables et faites le plein de poudreuse ou autre.
Dès que je trouve 5 minutes, je vous poste les vidéos de nos plus beaux rides dans la fraîche jusqu'aux oreilles.

dimanche, janvier 31, 2010

Trop dur l'hiver

Il fait -28°, on n'a pas vu le soleil depuis des mois, la déprime guète, l'engelure règne et l'hibernation l'emporte sur le bronzing. Pour conjurer le sort et vous remonter quelque peu le moral, je vous ai choisi une petite sélection d'images sympathiques de cuba... Afin re rendre la visite de la Perle des Caraïbes un peu plus vivifiante, j'ai inséré quelques images plus récentes. A vous de les découvrir.

L'arrivée à La Havane, bercée par les doux alizés,

le charme d'une plage de sable fin,
Les jolis cubaines omniprésentes et parfois dénudées dans la mer turquoise,

La modernitude au service du design vintage,

La trace des pas d'un dahu ivre sur le sable blanc

la 4è Caïpi sur la terrasse du Grand Hotel de Santiago,
Le rythme envoutant de la salsa cubana,
L'effort omniprésent,
La jungle de fougères arborescentes se perdant dans les brumes du Pico Turquino,
Les grenouilles arboricoles,
Les huskis de mer,
Le Fidel-Kola,
La religion, toujours présente malgré la dictature de plomb,
des matériaux iso 14001
la collection plage 2010
L'avenir radieux toujours derrière nous
et l'opéra national de cuba sous la brume de chaleur de la Havane.
La semaine prochaine, mes photos d'Egypte.