Back on the net. Ce sont toujours les cordonniers les plus mal nourris. Par exemple, depuis que j'appartiens à (disons plutôt que je travaille pour) un groupe de médias, je n'ai plus le temps de m'occuper de ce blog.
Bon, histoire de changer, je vais raconter mon histoire en commençant par la fin. L'avantage, c'est qe ceux que ça ennuie pourront aller directement à l'essentiel : lundi soir, débarquement de potes pour saccager un bien sympathique plateau de fromages auvergnats. Alex a fait le déplacement depuis le Brésil, c'est vous dire.
Regardez comme ils ont l'air heureux et repus avec leurs assiettes vides.
Alors ces fromages, ils viennent de là-bas. Du bon terroir de la grand-mère (enfin de son terroir d'adoption presque vu qu'elle est plutôt polonaise qu'auvergnate). Ici, l'arête du Puy Gros, qui débouche au col du vent, juste sous le Sancy.
Là, c'est Laura à la recherche d'un Saint Nectair fermier au bon lait des champs. On a fini au sommet du Sancy sans presque s'en apercevoir, et il n'a même pas plu, ce qui constitue un épisode météo surnaturel en ce mois d'août 2007.
Le soir, rencontre du 3ième type avec 2 hérissons qui gambadent devant la maison.
Voilà les responsable de la production de Cantal et de fourme d'Ambert : les Salers. Assurément les plus belles vaches du monde.
Celle-ci pousse la coquetterie jusqu'à se faire défriser les cornes.
En conclusion, si vous voulez du bon fromage, c'est chez Trefonds à la Tour d'Auvergne que ça se passe.
jeudi, août 30, 2007
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