POur ceux qui n'ont pas l'habitude, ce blog, c'est un peu comme une bande dessinée : il suffit de lire l'histoire racontée par le texte illustrant les images. Un peu comme un Manga Savoyard en quelque sorte.
Ce coup là, c'est l'histoire du groupe de Guillaume qui va revivre les grands épisodes de la débacle de Russie des troupes napoléoniennes. Le jeu consiste à marcher le plus de km possible en traçant dans un mètre de poudreuse jusqu'à un hypothétique refuge non gardé.
Kenzo n'a pas du tout idée de ce qui l'attend quand il s'engage dans cette aventure.
Concrètement, le décor du jeu est très joli, et il y a assez de place pour contenter tous les dévoreurs de km.
Une autre règle : dépeauter-repeauter-dépeauter assez souvent, en particulier,
toujours remettre les peaux avant une descente.
Il est permis de faire de la cascade de glace (dans ce cas, mettre les peaux).
Le seul moment oùil est permis d'enlever les peaux, c'est pour traverser les torrents de nuit après 11 h de marche (pour aller plus vite, on enlève aussi les skis).
Il a l'air gentil comme ça le Res... (Il aurait déclaré : "j'ai coulé ma bielle pendant 1800 m" !)
Tout confort, faut juste pas avoir besoin de se lever la nuit.
Accueil chaleureux,
Dialogue :
"- Et alors tu vois, j'ai pêché un brochet grand comme ça dans le torrent avec mes skis"
"- La vache, je suis défoncée de fatigue, je me colle un petit verre de rouge derrière la cravate et au lit"
Le lendemain, on repart de bon matin (genre 11h quoi). Dehors, les preuves s'accumulent : ils sont fous ces montagnards !
Ça c'est la 2è manche du jeu, qui consiste à marche des tas de km en traçant dans la poudreuse, mais à plat cette fois-ci, et avec le vent et la neige dans la figure. Dans le doute, on garde les peaux.
Paysage chaud et bienveillant...
... ambiance tropicale-lagon-palmier (les plus observateurs auront reconnu le torrent du brochet)
Visibilité totale...
Et finalement, l'apothéose. Alors que tout semblait perdu, le ciel s'illumine, ON ENLÈVE LES PEAUX, et on fait des godilles dans la poudre, Rhâaa, c'est trop bon.
Et trop beau
Et trop bucolique
Merci Guillaume...
...pour ces petits moments de bonheur (bien mérités !)
Et merci aux courageux inconscients qui ont joué avec nous : Kenzo, Charlotte, AnneF, Thomas et Coralie
le charme d'une plage de sable fin,
Les jolis cubaines omniprésentes et parfois dénudées dans la mer turquoise, 
le charme d'une plage de sable fin,
Les jolis cubaines omniprésentes et parfois dénudées dans la mer turquoise, 
La modernitude au service du design vintage,
La trace des pas d'un dahu ivre sur le sable blanc
la 4è Caïpi sur la terrasse du Grand Hotel de Santiago,
Le rythme envoutant de la salsa cubana,
L'effort omniprésent,
La jungle de fougères arborescentes se perdant dans les brumes du Pico Turquino,
Les grenouilles arboricoles,
Les huskis de mer,
Le Fidel-Kola,
La religion, toujours présente malgré la dictature de plomb,
des matériaux iso 14001
la collection plage 2010
L'avenir radieux toujours derrière nous
et l'opéra national de cuba sous la brume de chaleur de la Havane.
La semaine prochaine, mes photos d'Egypte.
